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23 ans après sa mort, les Algériens se souviennent toujours de Mohamed Boudiaf
Le 29 juin 1992, Rabah Amarouche, 62 ans à l’époque, tout jeune retraité algérien "exilé en France" depuis une trentaine d’années, regardait comme tous les soirs le journal télévisé "d’Antenne 2" : « Je me suis effondré en apprenant la nouvelle. Je ne pouvais pas croire qu'on puisse l'assassiner. Pas lui. Comme tous les Algériens, je croyais tellement en cet homme », dit-il toujours ému, 23 ans après le drame qui a ébranlé toute l’Algérie.
Nadir Dendoune