Au IVe siècle avant J.-C., un tsunami, consécutif à un séisme, engloutissait Néapolis. L’été dernier, une équipe d’archéologues italo-tunisienne a mis au jour les vestiges de cette ville portuaire romaine, soit plus de 20 hectares de ruines s’étendant au large de Nabeul. Le directeur de cette mission, Mounir Fantar qualifie cette découverte de “majeure”. Il a souligné que le plus important n’est pas de fouiller, mais de “conserver une réserve archéologique pour les générations futures”.