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Les Imams se suicident aussi
Pour les trois suicides enregistrés et médiatisés dans la seule journée de l’Aid, combien d’autres ont été enterrés dans les tréfonds des mémoires de familles traumatisées à travers le Maroc ? Les trois personnes (deux hommes et une femme) ne se connaissaient ni d’Adam, ni d’Eve puisque le riche MRE résidait à Berrechid, la pauvre dame à Essaouira et le plus problématique à Chichaoua. Pourquoi commettre l’irréparable un jour de fête et pas n’importe quelle fête, l’Aid El Kebir (traduisez la grande fête, la plus grande de toutes) ? La question mérite réflexion.
Abdellatif El Azizi