Le Maroc, invité d’honneur du 41ᵉ Festival du film méditerranéen d’Alexandrie

 Le Maroc, invité d’honneur du 41ᵉ Festival du film méditerranéen d’Alexandrie

Créé en 1979, le Festival du film méditerranéen d’Alexandrie s’est imposé au fil des décennies comme l’un des rendez-vous cinématographiques majeurs de la région

Le Maroc sera à l’honneur de la 41ᵉ édition du Festival du film méditerranéen d’Alexandrie, qui se tiendra du 2 au 6 octobre prochain.

Véritable carrefour des cultures du bassin méditerranéen, ce festival réunit cette année 131 films représentant 46 pays, répartis dans huit compétitions officielles, dont sept dédiées aux films et une au scénario.

Consolider le rôle d’Alexandrie comme capitale méditerranéenne

Lors d’une conférence de presse, le directeur de l’événement, Samir Farag, a souligné que cette édition vise à renforcer la position d’Alexandrie en tant que centre méditerranéen de l’art et de la culture. Au programme : des compétitions de longs et courts métrages, de films pour enfants ainsi qu’une section consacrée au cinéma égyptien de fiction.

Hommages aux grandes figures du cinéma

Cette 41ᵉ édition sera également l’occasion de rendre hommage à de grands noms du 7ᵉ art, parmi lesquels Ferdous Abdel Hamid, Riad El Khouly et Nasser Mezdaoui, sans oublier plusieurs figures marquantes du cinéma marocain, tunisien et français.

Ateliers et masterclasses à l’ère de l’IA

En marge des projections, le festival proposera des ateliers et masterclasses dans des domaines variés tels que la photographie, la réalisation ou encore l’avenir du cinéma à l’ère de l’intelligence artificielle, animés par des experts égyptiens et étrangers.

Un festival au rayonnement régional

Créé en 1979, le Festival du film méditerranéen d’Alexandrie s’est imposé au fil des décennies comme l’un des rendez-vous cinématographiques majeurs de la région. Il offre une plateforme unique de rencontres entre cinéastes, producteurs, acteurs et critiques venus de tous les pays méditerranéens, favorisant ainsi les échanges artistiques et le dialogue interculturel.

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