LES ENFANTS DANS L’HORREUR DE DAECH

 LES ENFANTS  DANS L’HORREUR  DE DAECH

LES ENFANTS DANS L’HORREUR DE DAECH. Notre dossier du mois de mars.


Pour Daech, l’enfance n’existe pas. Selon l’organisation terroriste, il n’est jamais trop tôt pour devenir enfant soldat dans les zones de combat ou agent dans les terres des “mécréants”. En France, alors qu’ils n’ont pas encore 18 ans, ils sont de plus en plus nombreux à être mis en examen pour terrorisme. Cinquante-six dossiers sont ouverts, concernant 39 garçons et 17 filles, soit quatre fois plus qu’il y a un an. Des parents confrontés à cette radicalisation nous racontent le combat quotidien qu’ils mènent.


Pour l’avocat Hacen Boukhelifa, qui a créé une structure d’aide destinée à ces jeunes, le signalement aux autorités est la seule issue possible. Les parents ne doivent pas hésiter. De son côté, Serge Blisko, président

de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) pointe les similitudes entre Daech et les sectes.


En reportage à Erbil, capitale du Kurdistan irakien, Damien Lefauconnier a rencontré des enfants qui ont survécu à l’enfer. Les violences dont ils ont été victimes ou témoins laisseront en eux des traces irréversibles, s’accordent les professionnels des troubles post-traumatiques. Enfin, dans un entretien, le journaliste expert en radicalisation David Thomson, revient sur les différentes circonstances qui amènent les jeunes à s’enfermer dans le piège jihadiste.


Retrouvez l'intégralité de notre dossier sur la machine d'embrigadement de Daesh et ses ravages sur les plus jeunes dans le Courrier de l'Atlas du mois de mars disponible en ligne dès aujourd'hui ou en kioske dès le 3 mars.


 

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