Lancement de la 4e saison de Press Start

 Lancement de la 4e saison de Press Start

Formation Press Start : du 6 au 19 mai 2018


15 entrepreneurs en herbe, réunis pendant 15 jours, dans une ferme biologique pour réfléchir à leurs projets. Un programme lancé par l’ONG Global Potential.


Ils ont tous entre 18 et 30 ans, peu ou pas de diplômes, et rêve de devenir entrepreneurs. Quinze entrepreneurs au total viennent d’être sélectionnés, sur dossier, pour participer à la formation Press Start lancée pour la 4e année consécutive par l’ONG Global Potential.


Ils ont pour point commun d’être ouverts sur les questions sociales, environnementales et culturelles. Cette année, la thématique est le coding.


« Un milieu peu familier tel qu’une ferme »


C’est un « programme de déclic à l’entrepreneuriat responsable ». La formation aura lieu du 6 au 19 mai prochains, à Albi, Marseille et Paris. Elle va se dérouler en trois étapes.


La première repose sur une phase d’immersion. Les lauréats passeront d’abord une semaine à effectuer des ateliers dans une ferme biologique située dans le Tarn. « Se retrouver dans un milieu peu familier tel qu’une ferme, permet de mieux se connaître et d’apprendre à collaborer avec d’autres personnes », peut-on lire sur le site de Press Start.


Cette immersion sera l’occasion d’approfondir les projets et d’appréhender les outils nécessaires au développement d’une entreprise.


Remise de diplômes le 10 octobre


La 2e semaine est intitulée « phase d’inspiration ». Lors de conférences, les jeunes vont rencontrer une cinquantaine d'experts, d’entrepreneurs, de professionnels et de techniciens à Paris ou Marseille.


Enfin, ultime phase, un suivi et un accompagnement seront proposés sous forme d’un mentorat. Puis, les candidats à la formation recevront leur diplôme lors de la cérémonie de clôture.


Pas lâchés dans la nature


Les candidats ne sont ensuite pas lâchés dans la nature. Tout au long de l’année, jusqu’en 2018, les lauréats seront suivis par des mentors, des coachs ou des experts selon les besoins des projets.


Chloé Juhel

Chloé Juhel