Elles font progresser la science

 Elles font progresser la science

crédit photo :Wladimir Bulgar/Science Photo/Library


Elles s’appellent Areej Abuhammad, Hanifa Taher Al Blooshi et Ibtissem Guefrachi. Elles sont originaires de Jordanie, des Emirats arabes unis ou de Tunisie. Ces trois jeunes scientifiques nous expliquent comment elles ont relevé les défis de notre temps dans les domaines de la santé, de l’environnement et de la protection des océans.


Notre dossier présente leurs travaux prometteurs et leurs ­parcours surprenants, souvent semés d’embûches. Leur réussite procède de leur détermination et prouve combien il est important de s’affranchir des stéréotypes, afin de donner aux femmes la ­possibilité de contribuer pleinement à l’odyssée scientifique.


Aujourd’hui, selon l’Unesco, seulement 28 % des chercheurs sont des femmes, et pas plus de 3 % des prix Nobel leur ont été attribués. Aucun ne l’a été ces deux dernières années. Pourtant, le monde a besoin de la science et celle-ci des talents créatifs et des perspectives intellectuelles de tous… et de toutes. 


Voir aussi : 


AREEJ ABUHAMMAD, de nouveaux traitements médicamenteux grâce au cristal


HANIFA TAHER AL BLOOSHI, des produits biodégradables anti-marées noires


IBTISSEM GUEFRACHI, les plantes, antibiotiques naturels en puissance


 

Bernard Banga