Colloque « Migrations et droit international », jeudi 4 et vendredi 5 novembre

 Colloque « Migrations et droit international », jeudi 4 et vendredi 5 novembre

Quelle protection pour les personnes fuyant des persécutions et conflits armés ?

Le Palais de la Porte Dorée accueille un colloque sur le thème  » Migrations et droit international ». Pendant deux jours, le phénomène migratoire sera appréhendé au regard des règles et normes internationales.

 

Le colloque « Migrations et droit international » est organisé par la Société française pour le droit international, en partenariat avec le Projet « RefWar – Protection en France des exilés de guerre » et le Centre de recherche Versailles Institutions Publiques.

Une vingtaine d’intervenants français et internationaux prennent part à cet important événement. S’agissant d’un colloque scientifique, le public sera essentiellement composé d’étudiants, d’universitaires et d’avocats et juges et de personnels associatifs.

Cette rencontre annuelle a pour entre autres vocation d’explorer,  à l’occasion des 70 ans de la Convention de Genève de 1951 relative au statut des réfugiés, les problématiques que soulèvent les migrations à travers le prisme des dispositions juridiques internationales.

La convention de Genève, 70 après son adoption

En plusieurs sessions plénières et ateliers, ce colloque sera l’occasion de croiser les regards sur des questions comme les instruments juridiques et les institutions pouvant être améliorés pour gouverner les migrations. Ou encore, comment prendre en compte les nouvelles migrations dues aux changements climatiques ? Les interventions feront l’objet ensuite  d’une publication aux Éditions Pedone.

D’autres thématiques sont à l’ordre du jour à l’instar de la lutte contre le trafic et la traite
des êtres humains. Les enjeux contemporains, migrations et protection internationale. Quels droits pour les migrants ? Quelle protection pour les personnes fuyant des persécutions et conflits armés. Autant de questions auxquelles les intervenants tenteront d’apporter des réponses.

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Mishka Gharbi