Coup d’envoi du festival Villes des Musiques du Monde

 Coup d’envoi du festival Villes des Musiques du Monde

Mouss & Hakim performeront au Festival des musiques du monde qui se tient du 9 octobre au 9 novembre 2020, en Seine-Saint-Denis, à Paris et dans le Grand Paris. XAVIER LEOTY / AFP

Des concerts et des spectacles à foison. Pendant plus d’un mois, Paris et le 93 célèbrent les îles du monde avec ce festival qui existe depuis 23 ans.

 

A partir d’aujourd’hui, 9 octobre, et jusqu’au 9 novembre, le Festival Villes des Musiques du Monde nous propose d’embarquer à la découverte d’une douce France, à l’image de cette année si particulière en ces temps de Covid.

Des concerts, des spectacles de danse, des conférences, des ateliers pour cette 23e édition qui se déroule en Seine-Saint-Denis, Paris et Grand Paris, autour de scènes transformées pour l’occasion en lieux inédits, éphémères ou places détournées.

Vivantes, innovantes, rassembleuses 

« Une mise en lumière des nouvelles musiques populaires, enracinées dans le local, ouvertes sur le monde, vivantes, innovantes, rassembleuses », voici la promesse de cette édition 2020 du Festival Villes des Musiques du Monde, « une nouvelle génération d’artistes qui mixent esthétiques, styles, répertoires et créent les musiques d’aujourd’hui ».

En termes de programmation, il y a par exemple La Caravane Passe, Mouss & Hakim, HK, Fanny Polly, Lindigo, Temenik Electric, L’Orchestre National de Barbès, Tamerentong ou encore Arat Kilo.

Tout aussi bien publics qu’acteurs

Villes des Musiques du Monde est à la fois un festival et une association fondée à Aubervilliers en 1997. Elle développe, à l’année, des projets participatifs « pour que les habitants soient tout aussi bien publics qu’acteurs ; qu’ils s’approprient leurs cultures, développent leurs pratiques artistiques, dans un désir de les partager ; soient curieux d’en découvrir d’autres et de s’y initier ».

Depuis 23 ans, la structure développe des projets de diffusion des musiques et cultures du monde et d’accompagnement des publics à l’échelle de la Seine-Saint-Denis et du Grand Paris.

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Chloé Juhel