Le Festival du film africain, pour « (re)découvrir les grands classiques du cinéma africain »

 Le Festival du film africain, pour « (re)découvrir les grands classiques du cinéma africain »

Crédit photo : ADEAS


 


L’Association des étudiants africains de la Sorbonne organise la 2e édition de son Festival du film africain. Les festivités ont débuté hier et se poursuivent jusqu’au 14 mai. Cette année, le thème est « l’indépendance ».


 


« Revisiter les grands classiques du cinéma africain et mettre en lumière les jeunes réalisateurs de la diaspora aux influences multiples françaises, américaines et africaines ». Ce sont les objectifs du Festival du film africain de l’ADEAS. Depuis l’année dernière, l’Association des etudiants africains de la Sorbonne milite pour « faire découvrir ou redécouvrir les grands classiques du cinéma africain ». 


 


Présence des réalisateurs


Ca se passe dans les locaux de la cinémathèque de l’université Paris 3. Chaque projection sera suivie d’une rencontre autour des grandes problématiques que traite le cinéma panafricain. Vendredi 13 mai, le film « Hasaki ya suda » de Cédric Ido sera projeté, en présence du réalisateur. Le dernier jour, le 14 mai, c’est « La virée à Paname » de Hakim Zouhani et Carine May qui viendra conclure la seconde édition du festival.


 


Ranimer la pensée panafricaine


l’ADEAS est une association fondée en 2002 par des étudiants des universités de Paris-Sorbonne (Panthéon, Panthéon Assas, Sorbonne Nouvelle, Paris Sorbonne et René Descartes), originaires d’Afrique et de la diaspora. La création de l’ADEAS relève de la volonté des étudiants africains de ranimer la pensée panafricaine et de maintenir la pérennité du mouvement de la « Négritude » initié par Senghor, Césaire et autres pionniers au sein de ce prestigieux établissement qu’est la Sorbonne.


 


Chloé Juhel


Réservation obligatoire pour chaque séance à : [email protected]

Cinémathèque de l’université Paris 3 Sorbonne Nouvelle, Salle 49

13 rue Santeuil, 75005 Paris

Chloé Juhel